-
Par EquilibreSante le 6 Novembre 2019 à 18:47
Réduction de la douleur, de la dépression et de l'anxiété après la correction des symptômes du SSPT chez les anciens combattants
Citation (style APA): Church, D., et Brooks, AJ (2014). Réduction de la douleur, de la dépression et de l'anxiété après la correction des symptômes de l'ESPT chez les anciens combattants. Explorez: Le Journal de la science et de la santé , 10 (3), 162–169.
Résumé
Un essai contrôlé randomisé chez des vétérans présentant des niveaux cliniques de symptômes de stress post-traumatique a révélé des améliorations significatives après l'EFT (Emotional Freedom Techniques). Bien que la douleur, la dépression et l’anxiété n’aient pas été ciblés, des améliorations significatives ont été constatées. Les sujets (N = 59) ont reçu six séances d’entraînement EFT supplémentaires aux soins primaires.
Ils ont été évalués à l'aide du SA-45, qui mesure 9 domaines de symptômes de santé mentale, ainsi que 2 échelles générales mesurant l'ampleur et la profondeur de la détresse psychologique.
L'anxiété et la dépression ont toutes deux considérablement diminué, de même que l'étendue et la profondeur des symptômes psychologiques. La douleur a diminué de manière significative au cours de la période d'intervention (- 41%, p <0,0001). Les sujets ont été suivis à 3 et 6 mois, révélant des relations significatives entre le SSPT, la dépression et l'anxiété à plusieurs moments de l'évaluation. Au suivi, la douleur est restée significativement inférieure au prétest.
Les résultats de cette étude sont cohérents avec d'autres rapports montrant que, à mesure que les symptômes de l'ESPT diminuent, la santé mentale en général s'améliore et que l'EFT produit des gains à long terme pour les anciens combattants après des interventions relativement brèves.
Voir l'article original ICI
votre commentaire -
Par EquilibreSante le 6 Novembre 2019 à 18:36
journal de la recherche scientifique et rapports, ISSN: 2320-0227, Vol .: 2, Numéro .: 1 (Janvier-Juin)
Article de recherche original
L'effet de l'EFT (Emotional Freedom Techniques) sur les symptômes psychologiques dans le traitement de la toxicomanie: une étude pilote
Dawson Church 1 * et Audrey Brooks 2
1 Fondation pour la médecine épigénétique, 3340 Fulton Rd, # 442, Fulton, CA 95439.
2 Département de psychologie, Université de l'Arizona, PO Box 210068, Tucson, AZ 85721.Informations sur l'article
Editeur (s):
(1) William Ebomoyi, Département d'études sur la santé, Collège des sciences de la santé, Université d'État de Chicago, États-Unis.
Relecteurs:
(1) Anonyme.
(2) David Feinstein, Energy Medicine Institute, États-Unis.
Historique complet de révision par les pairs: http://www.sciencedomain.org/review-history/1382
Objectif: Des études ont révélé une cooccurrence fréquente de symptômes psychologiques tels que l’anxiété et la dépression avec dépendance. Cette étude pilote a examiné l'effet de l'EFT (Emotional Freedom Techniques), une forme largement répandue de psychologie de l'énergie, sur 39 adultes identifiés comme tels par leurs problèmes de dépendance et participant à un atelier du week-end sur la toxicomanie.
Mesures: Les sujets ont rempli le questionnaire SA-45, un questionnaire bien validé mesurant la détresse psychologique. Il comporte deux échelles globales évaluant l'intensité et l'étendue des symptômes psychologiques et neuf sous-échelles de symptômes, notamment l'anxiété et la dépression. Le SA-45 a été administré avant et après l'atelier. Vingt-huit participants ont effectué un suivi de 90 jours.
Résultats:Une diminution statistiquement significative a été observée aux deux échelles globales et à toutes les sous-échelles SA-45 sauf une après l'atelier, ce qui indique une réduction de la détresse psychologique (total des symptômes positifs -38%, p <, 000). Les améliorations sur l'intensité et l'étendue des symptômes psychologiques, ainsi que sur les sous-échelles d'anxiété et d'obsession-compulsive ont été maintenues au suivi à 90 jours ( p <0,001).
Conclusion: Ces résultats sont cohérents avec ceux observés dans les études d'autres populations et suggèrent que l'EFT peut être un complément efficace au traitement de la toxicomanie en réduisant la gravité de la détresse psychologique générale. Les limites de cette étude sont notamment la taille réduite de l’échantillon, l’absence de groupe témoin ou de groupe de comparaison et l’attrition entre les données primaires et les données de suivi.Mots clés :
Dépendance; EFT (Techniques de Libération Émotionnelle); une dépression; anxiété.
Article complet - PDF Page 315-323
votre commentaire -
-
Par EquilibreSante le 5 Mars 2017 à 15:32
Combien de personnes aimeraient vivre une vie plus douce, plus sereine? Combien de personnes aimeraient ne plus avoir à vivre des moments angoissants, des peurs incontrôlées voir des phobies?
Détaillons dans cet article les moyens pour retrouver une sérénité et vivre la vie que l'on désire!
Le stress
Le stress est vital pour notre survie, il permet notre adaptation face à des dangers menaçant nos divers besoins, dont la sécurité, la santé, la reconnaissance...
Face à un réel danger immédiat un protocole de survie se met automatiquement en action.
Différentes situations dans la vie personnelle et professionnelle peuvent ainsi être perçues comme étant des dangers.
Cette perception du danger diffère d'une personne à une autre en fonction de son éducation, de ses expériences. Les 5 sens sont en liens avec ces perceptions, ainsi la vue d'une souris, ou la pensée de la présence de la souris provoquera un grand stress chez l'un et une indifférence chez l'autre.
Physiologie du stress
Le stress est tout d’abord un état et non une maladie, il représente tous les déséquilibres environnementaux venant troubler l’homéostasie de l’organisme. Ces troubles mettent en place des réactions dans le corps et l’esprit pour permettre le combat ou la fuite face au danger. C’est ce que l’on nomme la phase d’alarme avec la production d’hormones, adrénaline et noradrénaline. Dans cette phase le cœur s’accélère, les muscles se contractent, l’esprit est vif, nos forces sont telles que nous pouvons être amenés à faire des choses incroyables.
Cette première phase du stress est bénéfique. Imaginons-nous entrain de traverser la rue, totalement déconcentré et nous sursautons au bruit du klaxon d’un gros camion qui fonce sur nous. Ce stress nous sauve la vie, immédiatement, en quelques fractions de secondes, on trouve la force de sauter sur le trottoir. Dès que le camion est passé, nous retrouvons le calme intérieur et continuons tranquillement notre chemin. Notre organisme s’est adapté à la situation.
En phase d’alarme, l’information est traitée dans la partie limbique du cerveau, une sorte de douane qui fait passer ou non l’information à l’étage supérieur. Si cette partie du cerveau, c’est notamment l’amygdale qui contrôle, détecte un danger, elle envoie le message à l’hypothalamus qui met immédiatement en oeuvre le plan de défense.
Conséquences du stress
La problématique du stress se fait jour dès que les stimuli dépassent 1 heure, l’organisme passe dans une nouvelle phase, dite de résistance qui peut quant à elle durer 1 mois. Le système de défense est donc maintenu en vigilance, les hormones du stress, adrénaline, noradrénaline, cortisol continuent à inonder l’organisme, en provoquant acidité, inflammation etc. Le stress devient chronique.
Passé 1 mois, nous passons dans une troisième phase, l’épuisement. La chronicité du stress entraîne des troubles divers et variés, voir le burn-out.
La phase suivante est celle des très gros troubles, juste avant la mort!
Ce stress, que Hans Selye traduit comme étant un syndrome général d’adaptation est un héritage de l’ère préhistorique, où ces mécanismes du stress permettaient aux hommes d’échapper aux prédateurs. De nos jours notre organisme fonctionne toujours avec ces mécanismes, et ce que l’on ressent comme étant une agression face à une autre personne, en présence d'une souris, voir même à la pensée de sa présence, est perçue de la même façon par notre corps qu’une attaque par une bête féroce. Dans ce cas ces décharges hormonales, au lieu de nous donner la force de fuir ou combattre, déclenchent des dysfonctionnements de tous genres, anxiété, dépression, hypertension, maux de tête, insomnie voir même des symptômes d’asthme, syndrome du côlon irritable et autres problèmes cardio vasculaires.
Nous comprenons donc que le stress est un état qui échappe au contrôle de la pensée de chacun, et en connaissant son mécanisme il est plus aisé de le contenir.
Contenir, signifie ici se servir du stress comme sauvegarde vitale en mode d’alarme, et tout faire pour éviter le passage en phases supérieures. Se faire un allié du stress est donc possible!
Ne pas attendre que le stress dépasse les limites, celles où l’équilibre des neurotransmetteurs est compromis, empêchant de raisonner, de penser avec clarté et de mettre des intentions pour atteindre un objectif. Le stress chronique entraîne la mort de cellules nerveuses et le rétrécissement des zones d’apprentissage, de l’hippocampe, avec perte de mémoire, alors que l’amygdale grossit, ce qui nous rend encore plus anxieux.
Les émotions
Nous sommes des êtres émotionnels, et à ce titre nous sommes soumis à différentes émotions de base, 7 selon Paul Ekman, la joie, la tristesse, la peur, la colère, le dégoût, la surprise et le mépris et 8 selon Robert Plutchik, la joie, la peur, le dégoût, la colère, la tristesse, la surprise, la confiance et l'anticipation.
La coordination de ces émotions primaires donnent naissance à des émotions secondaires, exemple, joie + confiance = amour, joie + peur = culpabilité...
Nos émotions sont reliées à notre éducation et à nos différentes expériences.
La seule pensée, une image ou un son, réveillant un douloureux souvenir affectent le système énergétique corporel, activant du même coup l'émotion perturbante, (négative).
Conclusion
Il est donc impossible de se libérer du stress, car celui-ci est vital, comme nous venons de le voir, mais nous pouvons le gérer en mettant en place des règles de vie, aussi bien dans la vie personnelle que la vie professionnelle en pratiquant des exercices physiques et respiratoires telle que la cohérence cardiaque, suivre des cours de danse, de Tai-chi-chuan, Qi gong, faire de la sophrologie, méditation, relaxation, massages psycho corporels.... Le choix d'une alimentation saine, et le repos récupérateur sont à respecter pour garantir un bon fonctionnement physiologique en période de stress.
Nous avons également le choix et la possibilité de se libérer des causes du stress, en éliminant ces émotions perturbantes, par la pratique de Méthodes psycho énergétiques comme l'EFT.
Pratiquer l'EFT dès qu'une pensée perturbante semble envahir l'esprit, dès qu'un inconfort physique ou émotionnel apparaît, ouvre la voie vers la liberté d'être la personne que l'on souhaite devenir.
Chacun possède ainsi la responsabilité de sa destinée.
J'aimerai terminer par une citation de Gandhi, résumant à elle seule l'intérêt de l'EFT :
« Vos croyances deviennent vos pensées
Vos pensées deviennent vos mots
Vos mots deviennent vos actions
Vos actions deviennent vos habitudes
Vos habitudes deviennent vos valeurs
Vos valeurs deviennent votre destine. »
>>>Chers lecteurs, je vous remercie d’avoir lu cet article et je vous invite à le partager et à me laisser un commentaire ci-dessous. Quelques mots suffisent.<<<
votre commentaire -
Par EquilibreSante le 23 Février 2015 à 11:35
Si la notion de gène date du XIXe siècle lorsque Grégor Mendel détermina les lois de l’hérédité, sa compréhension est très récente.
Dans les années 1960 les français François Jacob et Jacques Monod déterminent le gène comme étant une molécule d’ADN. La notion de code génétique est évoquée pour la première fois.
Depuis lors, de nombreuses études sont effectuées sur le génome, avec ces dernières années les différentes modifications sur les gènes donnant naissance aux OGM, (organismes génétiquement modifiés).
On pense alors que le patrimoine génétique est figé, que l’ADN ne peut pas varier. Mais seulement 35 à 40% de l’activité de l’ADN est connu, le reste est déterminé comme étant ‘’ADN poubelle’’.
L'expression des gènes
L’épigénétique, (épi=autour), est un terme créé en 1942 par Conrad Waddington. Ce terme représente l’étude de l’influence de l’environnement sur l’expression des gènes.
Nous pouvons intervenir sur nos gènes
Depuis moins de 10 ans, la science de l’épigénétique a démontré que les 60% ‘’d’ADN poubelle’’ permettent la fabrication de petites molécules d’ARN circulant dans l’organisme. Ces molécules régulent le fonctionnement des gènes en fonction du comportement de chacun.
Rappelons que notre comportement est en liaison directe avec notre système de croyances.
Notre cadre de références, unique pour chaque individu est donc construit à travers nos croyances qui donnent naissance à nos pensées.
Nos pensées sont donc directement rattachées à l’expression de nos gènes, de même que notre façon de nous nourrir.
L’expression de nos gènes diffère également selon que l’on fasse de l’activité physique ou pas.
De notre état émotionnel dépend surtout le fonctionnement des gènes.
Nous avons donc des gènes qui s’expriment et d’autres non en fonction de notre comportement.
La plus grande partie de notre patrimoine génétique est donc acquise, seulement une minorité est innée.
Cette liaison directe sur son propre patrimoine génétique donne les possibilités à tout être vivant d’améliorer sa vie, notamment sa santé.
Le patrimoine génétique est constitué du génome, c'est-à-dire le matériel génétique codé dans l ‘ADN, chromosomes, gènes.
Le Docteur es science Joël de Rosnay aime rappeler que les abeilles naissent avec le même patrimoine génétique. Lorsqu’une partie des larves sont nourries avec de la gelée royale, celles-ci deviennent reines.
Un gène transmis par le père ou la mère n’a pas forcément la même expression; cela s’appelle l’empreinte parentale.
Il en est de même avec les jumeaux. A la naissance les deux frères ou sœurs ont exactement le même génome. Selon les modifications environnementales les gènes du premier ne s’expriment pas comme ceux du second. C’est la raison pour laquelle chacun possède son propre comportement. Tout au long de sa vie chacun est en liaison avec les effets de son environnement. Avec le temps la ressemblance varie et chacun développe ses propres maladies.
Le Docteur Bruce Lipton, épigénéticien de renom, était chercheur en biologie cellulaire dans les années 70. Il travaillait sur la culture des cellules souches. Il s’aperçut que selon l’environnement ou se trouvaient ses boîtes contenant les cellules souches, certaines cellules donnaient des muscles, d’autres des os, de la peau…
Ce qui déterminait la naissance d’une cellule par rapport à une autre, est bien l’information qui provient de l’environnement dans lequel vit la cellule.
Les gènes ne contrôlent donc pas les cellules à 100%. Contrairement à ce qui a été établi lors de la découverte des gènes, l’information ne provient pas uniquement de l’ADN.
Cela démontre que chaque individu n’est pas prisonnier des gènes transmis par son ascendance, et que chacun peut changer la façon dont s’exprime ses gènes.
Les études en médecine épigénétique montrent qu’une personne naissant dans une famille de diabétique, ou présentant d’autres problèmes métaboliques, cholestérol, poids… peut inverser la tendance pour elle et sa descendance en changeant son comportement alimentaire.
Au moins 60 % d’informations dites héréditaires transmises par nos parents peuvent être déprogrammées et reprogrammées.
« L'ADN ne fait que porter le code génétique. L'épigénétique donne les moyens à la cellule de l'interpréter le mieux possible. » Peter Artymiuk (Professeur en biologie cellulaire)
L'épigénétique, c'est d'abord cette idée que tout n'est pas inscrit dans la séquence d'ADN du génome. "C'est un concept qui dément en partie la "fatalité" des gènes", relève Michel Morange, professeur de biologie à l'ENS. Plus précisément, "l'épigénétique est l'étude des changements d'activité des gènes - donc des changements de caractères - qui sont transmis au fil des divisions cellulaires ou des générations sans faire appel à des mutations de l'ADN", explique Vincent Colot, spécialiste de l'épigénétique des végétaux à l'Institut de biologie de l'Ecole normale supérieure (ENS-CNRS-Inserm, Paris). Article de Florence Rosier dans Le Monde.fr 13/04/2012
Nous détenons un pouvoir infiniment puissant sur notre fonctionnement, sur notre destinée, car ce ne sont pas nos gènes qui contrôlent notre vie comme on le pensait.
Arrêtons de nous sentir victime d’un ou plusieurs gènes. Réfléchissons d’abord sur le fait que nous pouvons influer sur eux dans au moins 60% des cas voir 85% selon le Docteur de Rosnay.
Ce concept est en lien avec la physique quantique, considérant que l’Univers est un Champ Énergétique et non physique comme le considèrent encore certaines personnes.
La science commence ainsi à intégrer la partie spirituelle des forces invisibles du Champ Énergétique dans la constitution de la matière.
Le cerveau, grâce à sa plasticité, évolue en fonction des événements, de l’environnement dans lequel il baigne.
Nous avons donc cette capacité de modeler notre cerveau, en le nourrissant de belles pensées par exemple. La difficulté réside dans le fait que nos pensées sont automatiques et permanentes, elles se succèdent les unes aux autres. Dès que nous souhaitons échapper à une mauvaise pensée, celle-ci s’imprime encore plus dans l’esprit, comme ce refrain entendu le matin et qui nous poursuit toute la journée!
La psycho énergétique aide à créer les changements souhaités à tous les niveaux de notre être. L’EFT est à ce jour la Méthode inégalée pour s’offrir cette liberté!
Deux principales études montrent les changements épigénétiques après une séance d’EFT
- Beth Maharaj* de l’Université Akamal découvre 72 gènes exprimés après 1 heure d’EFT dont 25 l’étaient toujours après 24 heures. Ces gènes concernent un ensemble de mécanisme de protection
- Dawson Church** a analysé le sang avant et après 10 séances EFT sur 16 vétérans de guerre souffrant de SPT en comparant avec un second groupe témoin. Résultats : 53 % d’amélioration sur les symptômes de stress, amélioration du sommeil, expression de 6 gènes codant l’immunité, l’inflammation, le vieillissement, l’activité virale inhibant l’entrée des virus et favorisant la migration des globules blancs chez ceux ayant pratiqué l’EFT
La Psycho Énergétique pour transformer le comportement individuel
Grâce à la psycho énergétique nous pouvons à ce jour nous débarrasser des émotions perturbantes que nous ont léguées nos aïeux et celles que nous avons imprimé tout au long de notre vie.
L’EFT fait partie de ces différentes Méthodes de psycho énergétique. Elle est validée par différentes études.
« Avec la psycho énergy, vous n'aurez pas à repasser en revue toutes les expériences de votre vie, en quelques minutes, on peut reprogrammer une croyance dans son subconscient .» Bruce Lipton
L’EFT permet de modeler son cerveau en supprimant les inversions psychologiques. L’intégration de pensées positives devient possible en restant régulièrement relié à ces pensées tout en se libérant des émotions perturbantes pendant 21 jours au moins.
Toutes nos actions sont ainsi mises en œuvre avec la certitude qu’elles nous mènent sur le bon chemin, c'est-à-dire celui que l’on a réellement choisi.
Il devient nécessaire de vivre dans un climat serein et d’éviter de vivre dans un environnement déstabilisant. Dès qu’une perturbation survient, il convient de la ‘’défuser’’; l’EFT est un formidable outil pour aider dans cette ‘’défusion’’ dans les moments difficiles que nous pouvons vivre parfois.
>>Chers lecteurs, je vous remercie d’avoir lu cet article et je vous invite à le partager et à me laisser un commentaire ci-dessous. Quelques mots suffisent.<<<
Découvrez ce livre en cliquant sur l'image
La symphonie du vivant : Comment l'épigénétique va changer votre vie
*Maharaj, ME (2016). Expression différentielle des gènes après traitement par Emotional Freedom Techniques (EFT): un nouveau protocole pilote pour l’évaluation de l’ARNm salivaire. Psychologie énergétique: théorie, recherche et traitement, 8 (1), 17-32.doi: 10.9769 / EPJ.2016.8.1.MM
**Epigenetic effects of PTSD remediation in veterans using Clinical Emotional Freedom Techniques: A randomized controlled pilot study Citation (APA Style): Church, D., Yount, G., Rachlin, K., Fox, L.
Découvrez les prochaines Télé Formations en cliquant sur l'image
4 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique